Augustin Charton aus Sailly le Sec, Hauts de France, nimmt derzeit am Deutsch-Französischen Olympischen Jugendlager (DFOJL) teil. Der Triathlet ist über den Nachwuchsleistungssport zum binationalen Event gekommen und hat den Traum, eines Tages bei den Olympischen Spielen zu starten. Nach den Schilderungen von Finja Malu Herwig und Till Krettnich ist nun Augustin an der Reihe und blickt auf die jüngsten Wettkämpfe, Workshops und Treffen mit bekannten Persönlichkeiten.
Tag 6 (29. Juli)
Noch ein weiterer vollgepackter Tag! Wir begannen mit einem höchst inspirierenden Vortrag von Lucas Witvoet über Nachhaltigkeit, Klima und Sport und seinem verrückten Projekt „0 Mégots“: Von Paris bis zum Ärmelkanal schwimmen, um den Weg einer weggeworfenen Zigarettenkippe nachzuvollziehen. Danach testeten wir unser olympisches Wissen in einem Quiz, das vom ANOF (Académie Nationale Olympique Française) organisiert wurde, und trafen Frédéric Sadys, einen Trainer am INSEP, der in einem spannenden Austausch von Leistungsdruck und Mentaltraining berichtete. Nach den Vorträgen wetteiferten wir in gemischten Teams bei einer „Spaß-Olympiade“, bei der sich alle Jugendlichen übertroffen haben und viel Freude hatten.
Tag 7 (30. Juli)
Der lang ersehnte erste Wettkampf für mich: Badminton. Nach einer morgendlichen Besichtigung der Hauptstadt bei hohen Temperaturen kamen wir in der Arena Paris Sud an, um einen großen Sportmoment zu erleben. Denn obwohl es „nur“ die Qualifikationen waren und Frankreich nicht glänzte, wusste das Publikum, alle Athlet*innen zu unterstützen, die uns eine tolle Show boten. Der Tag endete mit einem geselligen Abendessen in einem Park, bei dem wir auch die Sammlung von olympischen Pins jedes Einzelnen bewunderten.
Tag 8 (31. Juli)
Ein weiterer Tag voller Emotionen, da heute der Triathlon anstand – meine Disziplin. Und was für ein Glücksgefühl, die Marseillaise zu singen und diese Erfolge zu feiern, nachdem es Zweifel gab, ob die Rennen überhaupt aufgrund des schmutzigen Wassers in der Seine stattfinden könnten! Abschließend spazierten wir durch den berühmten Jardin des Tuileries, um das Olympische Feuer zu bewundern, und verbrachten einen entspannten Abend auf dem Beachvolleyballfeld in unserer Unterkunft.
Tag 9 (1. August)
Bereits der neunte Tag dieses Camps, das mich immer wieder überrascht! An diesem Tag hatten wir einen Workshop zu einem bedeutenden Thema: psychische Gesundheit im Sport. Nach einem vorgezogenen Mittagessen fuhren wir zum Club France, um Stéphane Diagana zu treffen, den französischen Paten des DFOJL. Die Leichtathletiklegende nahm sich viel Zeit und beantwortete unsere zahlreichen Fragen. Anschließend konnten wir die Atmosphäre und zahlreichen Aktivitäten in der Fanzone genießen, gefüllt mit sportbegeisterten Französinnen und Franzosen, was mich sehr erfreute.
Tag 10 (2. August)
Nach einer ereignisreichen Woche war es Zeit für Ruhe. Am „freien Tag“ entschied ich mich, im CREPS zu bleiben, um die zahlreichen Ereignisse der vergangenen Woche besser zu begreifen und die letzten Tage noch mehr genießen zu können! Ich nutzte die Gelegenheit, um länger als gewöhnlich zu joggen, zu lesen und zahlreiche Wettkämpfe im Fernsehen zu schauen.
Rapport intermédiaire, seconde partie
Un participant français raconte, dans le journal de bord, son expérience au COFAJ Paris 2024.
Augustin Charton, qui vient de Sailly le Sec (Hauts de France), participe actuellement au Camp de Jeunesse Olympique Franco-Allemand (COFAJ). Ce triathlète participe à cette aventure éducative binationale, grâce à son statut de jeune sportif de haut niveau. Il rêve également de participer un jour aux Jeux Olympiques. Après les récits de Finja Malu Herwig et Till Krettnich, c'est désormais au tour d'Augustin de revenir sur les récentes compétitions, ateliers et rencontres avec des personnalités sportives renommées.
Jour 6 (29 juillet)
Encore une journée bien chargée ! Nous avons commencé par une intervention des plus inspirantes de Lucas Witvoet, sur le climat, le développement durable et le sport à travers son projet fou 0Mégots : rallier Paris à la Manche à la nage, pour retracer le trajet d'un mégot jeté. Avant de tester notre culture olympique à travers un quizz proposé par le ANOF (Académie Nationale Olympique Française), et de rencontrer enfin Frédéric Sadys, entraîneur à l'INSEP, dans un échange passionnant avec nous ! Outre toutes ces conférences, la journée s'est terminée sur des « Olympiades du fun » où chacun s'est dépassé et a pris beaucoup de plaisir !
Jour 7 (30 juillet)
Le jour tant attendu pour ma part : la première compétition, le badminton en l'occurrence. Après une matinée visite de la capitale sous la canicule, nous arrivons enfin à l'Arena Paris Sud pour un grand moment de sport. Bien que ce ne fut que des qualifications et que la France n'a pas brillé, le public a su porter tous les athlètes qui nous ont offert un beau spectacle. La journée s'est terminée autour d'un repas convivial dans un parc, en contemplant par ailleurs la récolte de pin's olympiques de chacun.
Jour 8 (31 juillet)
Nouvelle journée de compétition une nouvelle fois pleine d'émotions car le triathlon est ma discipline. Et quel bonheur de chanter la Marseillaise, de célébrer ces exploits bleus après les doutes quant à la tenue des courses ! La journée s'est poursuivie par une ballade dans le célèbre jardin des Tuileries pour admirer la vasque Olympique ainsi qu'une soirée détendu sur le terrain de Beachvolley.
Jour 9 (1er août)
Déjà le 9ème jour de ce camp, qui ne finit pas de me surprendre ! Avec ce jour-là un atelier autour d'une question essentielle : la santé mentale avec le sport. Après un repas anticipé, départ au club France pour rencontrer Stéphane Diagana, le parrain du COFAJ ! La légende de l'athlétisme nous a adressé quelques mots et a répondu à nos nombreuses questions. Nous avons pu ensuite profiter de l'ambiance et des nombreuses activités proposées dans la Fanzone, remplie de français passionnés de Sport, ce qui m'a fait très plaisir.
Jour 10 (2 août)
Après plusieurs jours mouvementés, c'est l'heure d'un peu de repos. J'ai choisi, pour ma part, de rester pour cette journée libre au CREPS. J’ai pu profiter d'un moment de calme et pour peut-être mieux prendre conscience de l'ampleur de tous les événements de la semaine écoulée, et encore mieux savourer les derniers jours ! J'en ai notamment profité pour aller courir plus longtemps que d'habitude, un peu de lecture ou encore regarder plus d'épreuves à la télé.
Dans notre journal de bord final, Augustin sera de nouveau mis à l’honneur. Avec la triathlète Ronja Stiegler de Chemnitz, il a mené une interview avec une correspondante du studio ARD à Paris, qui nous a rendu visite au CREPS Île-de-France.